Les Généticiens n'ont pas d'accord avec Les Interprétations Archéologiques de Premières Femelles Humaines

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Appelée la «Vénus de Willendorf, cette statuette est censé d'avoir été sculpté entre 24.000 à 22.000 avant notre ère. Depuis cette époque,  des dizaines de figurines de femmes du paléolithique ont été découverts en France, en Sibérie et en Japon.

Venus de Willendorf
 Un des trouvailles archéologiques le plus spectaculaire est une figurine, découvert par le Dr Josef Szombathy en 1908. 
Les archéologues ont interprétés les caractéristiques résolument non-européenne de ces statuettes féminines comme étant «exagérations», qui suivent les conventions artistiques du Paléolithique. Un chercheur a remarqué: "La Vénus n'est pas un portrait réaliste mais plutôt une idéalisation de la figure féminine."  Les savants même interprétent la sculpture de cheveux crépus comme." Un type de coiffure ". En tout cas, l'évidence anthropologique nouveau suggére que les peuple Khoisan de l'Afrique australe etaient  la branche le plus aînée de la famille humaine. Et alors, les femmes Khoisan présentent aujourd'hui, de même  cheveux courts et crépus, et l'accumulation de graisse autour des fesses connu sous le nom stéatopygie, que les chercheurs occidentaux utilisés comme preuves d'insister pour que ces statuettes étaient «exagérations artistique."

  
Heureusement, ces nouvelles découvertes dans le domaine de la génomique humaine peut forcer les archéologues et les chercheurs dans d'autres domaines, ainsi, de réexaminer les interprétations antérieures des figurines de Vénus, qui a insisté pour que ces sculptures n'avait aucun rapport avec l'apparence physique du début de femmes européennes. C'est-a-dire, les études du chromosome Y des populations du monde entier ont montré que les ancêtres des Khoisan ont été dans tous les probabilité le groupe dont toute la population de l'homme moderne descend. Ce que ce signifie en bref est des ancêtres féminins de toute le monde ressemblait à ces femmes Khoisan.


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